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Redécouvrons le passé:
1976 /À Betania, Marie est la Mère Réconciliatrice de tous les peuples

Notre Histoire avec Marie

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CONCEPTION ET REALISATION

BULKO

1976

À Betania, Marie est la Mère Réconciliatrice de tous les peuples

À Betania, Marie est la Mère Réconciliatrice de tous les peuples
La Sainte Vierge a choisi le Venezuela pour donner un message de réconciliation, d'amour et d'unité fraternelle, se présentant comme Mère Réconciliatrice de toutes les nations. À Betania, la Vierge Réconciliatrice est apparue pour la première fois le 25 mars 1976 à Maria Esperanza Medrano de Bianchini, épouse et mère de famille que Dieu a comblée de charismes spéciaux.
L'équipe de la Fondation Betania
L'équipe de laFondation Betania
Une enfant proche des Cieux. Maria Esperanza est née dans la ville de Barrancas del Orinoco, au bord de l’Orénoque, dans le nord-est du Venezuela, le 22 novembre 1928. Sa mère, ayant déjà trois garçons, avait beaucoup prié la Sainte Vierge pour avoir une fille. Dès son plus jeune âge, elle a des révélations privées de Jésus, de la Vierge et de plusieurs saints. Très spirituelle, elle souffre de nombreuses maladies, lesquelles guérissent peu à peu d'une manière inexplicable, voire miraculeuse. À l’adolescence, Maria Esperanza commence à manifester des charismes spéciaux comme, par exemple, le don de la lecture des âmes. Ainsi, de plus en plus de personnes se présentent à elle. D’autre part, elle étudie, travaille et sert le Seigneur en faisant des œuvres de miséricorde avec son groupe de prière. Son amour pour Dieu est si grand que naît en elle le désir de devenir religieuse.  

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Une courte expérience au couvent.
À 26 ans, la Servante de Dieu entre au couvent franciscain de Mérida, mais un mois plus tard, dans la chapelle, elle a une vision de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus. La religieuse française, morte en 1897, avait été proclamée patronne des Missions un an avant la naissance de Maria. La sainte lui lance une rose ; mais quand Maria court pour l'attraper, elle sent une piqûre à sa main d’où coule un filet de sang. C'est alors qu'elle entend le Sacré-Cœur de Jésus lui dire qu’elle n’est pas à sa place ; sa place est dans le monde en contact avec tous, et sa mission est d'être une épouse et une mère. Il lui dit aussi qu'elle sera sanctifiée dans ces rôles, avec ses six roses et un bouton (six filles et un garçon), et qu'elle doit se rendre immédiatement à Rome. Maria Esperanza obéit et part pour Rome, où, selon les prophéties qu'elle avait reçues de saint Jean Bosco, elle rencontre son mari qu’elle reconnaît par l'épée qu'il porte à la main (il est membre de la Garde du président de la République italienne).


À la recherche d’une terre spéciale.
Le 1er novembre 1955, elle rencontre donc à Rome M. Geo Bianchini, devant l'église du Sacré-Cœur de Jésus, près de la gare Termini. Geo et Maria se marient peu de temps après, le 8 décembre 1956, dans la basilique de San Pedro à Rome. Entre les années 1938 et 1974, Maria a des révélations répétitives lui annonçant qu’un jour elle trouverait une terre qui serait une bénédiction pour le Venezuela et le monde entier, et qui deviendrait un centre de renouveau spirituel et de guérison, dirigé par la Vierge Marie. Ces révélations prédisent la grande mission que Maria Esperanza aura dans le futur. Après avoir cherché pendant des années et dans tout le Venezuela cette terre, en 1974, les époux Bianchini sont invités à visiter une ferme à Betania, dans l’État de Miranda, à 50 km au sud de la capitale Caracas. Ils reconnaissent alors les signes donnés par la Vierge Marie : une vieille maison, une rivière et une grotte. Ils réalisent vite qu’il s’agit de la terre tant attendue et décident de l'acheter avec la participation de deux partenaires : la famille Andreu et la famille Castellanos.
 

« Ma fille, je suis venue vers vous les mains pleines de grâces »

Une première apparition à Betania.
Le 21 mars 1976, Maria Esperanza reçoit un message de la Vierge dans lequel elle révèle qu'elle sera présente quatre jours plus tard dans la ferme achetée. C'est ainsi que le 25 mars 1976, jour de l’Annonciation, Maria Esperanza, en compagnie de 80 amis de son groupe de prière, reçoit la première visite de Marie à Betania. Cette apparition se déroule en privé, Maria étant la seule à voir la Vierge. Pendant ce temps, les autres membres du groupe assistent à certains phénomènes, tels que des mouvements du soleil et sentent une odeur des roses. La voyante racontera plus tard dans des interviews que lors de cette expérience, elle a vu à l'intérieur d’une grotte, dans la forêt, toute vêtue de blanc, une jeune fille de 14 ou 16 ans, gracieuse et lumineuse. La Vierge Marie en ce jour glorieux lui a donné le message suivant : « Ma fille, je suis venue vers vous les mains pleines de grâces, pour appeler tous mes enfants à la conversion ; c'est la semence de la gloire que je vous offre comme Marie Réconciliatrice de tous les peuples et de toutes les nations, car je viens vous réconcilier tous ! La réconciliation est l'héritage de la divine fraternité de mon divin Fils ! Ma fille, apporte mon message à tout le monde ! Je vous garderai dans mon Cœur dès aujourd'hui et pour toujours ! » Pour le Venezuela, qui a subi une guérilla communiste (les Forces armées de libération nationale dans les années 1960), comme d’autres pays d’Amérique latine avant et après lui, le mot de réconciliation n’est pas anodin ; sa connotation n’est pas seulement spirituelle.
 

Un message de paix pour les nations.
Maria Esperanza voit de nouveau l'apparition au cours de cette année et durant les deux années suivantes. Pour la fête de l'Annonciation en 1978, la Vierge lui dit : « Ma fille, ce n'est pas un rêve ; ma présence parmi vous est une réalité. Obéis et reste fidèle à cette Mère afin que tu puisses jouir pour toute l'éternité ! Acceptez la tâche ardue de transmettre mon message d'amour et de réconciliation à tous les peuples et nations. Tu souffriras, mais quelle joie et quel bonheur de voir que tu as été fidèle à ta Mère. » Ce message est une confirmation de la mission que la Sainte Vierge lui confie en tant qu'ambassadrice de la réconciliation et en tant qu'âme victime pour la réparation des péchés des autres.
 

La Vierge apparaît à tous.
Le 27 novembre 1978, la Sainte Vierge annonce à sa servante : « … en 1984, le grand événement de ma présence là-bas... tout le monde me verra, ce grand jour arrivera bientôt. » En effet, telle que la Vierge l'a annoncé, elle apparaît de nouveau le 25 mars 1984 dans l'après-midi, mais cette fois elle est vue par les quelque 150 personnes présentes. Ceux qui ont le privilège d'assister à cette apparition disent avoir vu Notre-Dame sept fois en l'espace d'environ trois heures. Les observateurs la décriront plus tard avec une robe blanche et une ceinture bleue (comme lors d’autres apparitions), les bras écartés en guise de salutations ou de bienvenue, avec des rayons lumineux qui s’échappent de ses mains, un voile qui permet de voir ses cheveux, et elle porte ce qui ressemble à une Médaille Miraculeuse. À cette occasion, la Mère de Dieu communique avec Maria Esperanza : « Mes enfants, je suis Marie, Vierge et Mère Réconciliatrice des Peuples, je viens avec mon Fils dans mes bras pour vous réconcilier. Ô, sublime espoir, le vôtre ! Priez le chapelet ! Mes enfants, vous m’avez vue et sentie, ressentant qu’en réalité, je vis parmi vous ! [...] »


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La reconnaissance des apparitions.
L’évêque du diocèse de Los Teques (État de Miranda), Mgr Pío Bello Ricardo, a fait l'enquête lui-même, sans former une commission. En tant que jésuite, il a reçu une solide formation théologique à la faculté d'Oña, à Burgos, en Espagne. Pendant dix ans, il a interrogé 490 personnes, dont certaines en groupe, et créé un dossier contenant 381 déclarations écrites. Les témoignages lui ont paru « sérieux, sincères et convergents », mais, par prudence, il consulta le Pape. C'est ainsi que, par la voix de Monseigneur Bello, l'Église déclara officiellement le 21 novembre 1987 que la Vierge Marie a effectivement visité Betania : « Par conséquent, après avoir étudié avec zèle les apparitions de la Bienheureuse Vierge Marie à Finca Betania, et après avoir demandé assidûment au Seigneur le discernement spirituel, je déclare qu'à mon avis ces apparitions sont authentiques et ont un caractère surnaturel. J'approuve donc officiellement que le lieu où elles se sont déroulées soit considéré comme sacré et qu'il soit destiné à être un lieu de pèlerinage, de prière, de réflexion et de culte dans lequel des actes liturgiques peuvent être accomplis, en particulier célébrer la messe et administrer les sacrements de réconciliation et l'Eucharistie ; toujours selon les lois de l'Église et les normes du diocèse pour la pastorale de Conjunto. » Betania est devenu le quatrième lieu d’apparitions approuvé par l'Église catholique au XXe siècle.
 

La naissance d’un pèlerinage de renommée mondiale.
La nouvelle se répand rapidement parmi les parents et les amis de ceux qui ont vu la Vierge, puis circule jusqu’à Caracas, la capitale, et dans tout le Venezuela puis au-delà de ses frontières. De nombreux curieux, dévots, malades ou personnes dans le besoin commencent à arriver à la ferme. Au cours des années suivantes, alors que le nombre des pèlerins augmente, les visiteurs de Betania soutiennent voir des apparitions de la Vierge et assister à d'autres phénomènes curieux : grande luminosité, écoute de chansons d'une chorale  invisible, parfum qui émane des eaux de la cascade, etc. L’évêque Pío Bello s’exprime ainsi : « Les apparitions généralement ont continué les samedis, dimanches et jours de fêtes mariales. Elles ont été particulièrement fréquentes durant les années 1984 et 1985, plus espacées entre 1986 et 1987. » Mgr Pío Bello estime qu'entre mille et deux mille personnes ont vu la Vierge à Betania et décrit des phénomènes merveilleux. Le 28 août 1989, sur demande de la Vierge, Maria Esperanza, a fait don à l'église de quatre hectares de terrain correspondant à ce qui est aujourd'hui connu comme le sanctuaire de Betania.
 

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Des messages pour nous tous.
Dans la lettre pastorale de Monseigneur Bello, il est rapporté que la Vierge Marie a fait plusieurs demandes à ses enfants :

- Renouveler sa foi : une urgence dans un monde où tant de gens nient Dieu et rejettent le surnaturel ;
- Approfondir sa foi : par la lecture et la réflexion de la Parole de Dieu dans les Saintes Écritures ;
- La conversion : avec la recherche d’une vie chrétienne complète ;
- L'engagement apostolique : en conséquence de cette foi renouvelée, approfondie et vécue ;
- L’appel à la prière : pour l'Église, les prêtres, les vocations, la conversion des pécheurs, la paix dans le monde et les risques imminents qui menacent l'humanité ;
- Avoir souvent recours aux sacrements : spécialement à ceux de la Réconciliation et de l'Eucharistie ;
- La solidarité : un appel à la charité, en particulier envers les plus démunis, les marginalisés, les malades.  

Guérisons et miracles.
L'évêque a noté qu’à Betania, « Les gens qui n'ont jamais prié auparavant s'habituent peu à peu à prier le chapelet. Ceux qui n’allaient pas à l'église le font maintenant régulièrement, se confessent et communient. Il y a eu des conversions notables. » Les guérisons de beaucoup de malades à Betania ont aussi été un signe particulièrement convaincant de la présence de la Vierge dans le lieu. On peut souligner celle du Dr Vinicio Arrieta, un éminent médecin de Maracaibo (Venezuela), diplômé de Harvard, qui était atteint d’un cancer de la prostate avec des métastases dans la colonne vertébrale. En 1989, il a visité Betania et y est resté pendant une nuit de veille. Maria Esperanza à cette occasion lui a dit : « Vous êtes un homme bon qui a sauvé de nombreuses vies, vos cellules se renouvellent. Vous ne devez pas quitter [Betania], car notre Sainte Mère vous aidera plus encore. » Quelques jours plus tard, le Dr Arrieta est allé voir son médecin qui lui a confirmé sa rémission complète. Il devint alors un grand allié de la Sainte Vierge et, d’après ses recherches, plus de mille guérisons physiques ont eu lieu à Betania. Le Père René Laurentin, dans son livre, souligne d'autres grandes guérisons : « La disparition d’un cancer du rein avancé, la guérison immédiate d’ulcères duodénaux, la disparition d'un fibrome de l'ovaire, sans l’opération considérée comme indispensable, la guérison inattendue d’une mycose vaginale qui avait résisté à tous les traitements. »
 

Les derniers jours de Maria Esperanza.
Après une maladie qui a progressivement dégradé sa santé, avec des symptômes similaires à la maladie de Parkinson, le Seigneur a rappelé Maria Esperanza Medrano de Bianchini le 7 août 2004 à Long Beach Island (New Jersey), aux États-Unis. Entourée de son mari et de ses sept enfants, elle avait 76 ans. Le 31 janvier 2010, la cause de béatification et de canonisation de la Servante de Dieu a été ouverte par Mgr Paul Bootkoski, évêque du diocèse de Metuchen, New Jersey. La Fondation Betania continue le travail apostolique de la Servante de Dieu.
 

À Betania, la présence de la Vierge, Réconciliatrice de tous les peuples et de toutes les nations, est une source de réconfort et de guérison pour des milliers de personnes, en particulier pour les paysans qui vivent dans les villages voisins. Ici, on peut voir comment la Sainte Vierge intercède pour tous ses enfants égarés.
Compléments
Sources documentaires

3 propositions pour construire l'avenir

Les 3 propositions que la Fondation Betania a faites le samedi 16 décembre 2017.

Engagement

Je  visite le sanctuaire de Betania 
ou je prie Marie.

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Formation

Comment concilier propriété privée et destination universelle des biens ?
Découvrez la réponse de Jean-Yves Naudet.

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Prière

Je prie la prière à Marie Réconciliatrice,
rédigée par Maria Esperanza de Bianchini.

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